La raison en est le risque accru d’attaques contre les systèmes informatiques des banques. Une attaque vraiment majeure au cours de laquelle une banque ou un système de paiement tout entier aurait été déstabilisé n’a pas encore eu lieu, mais elle ne peut pas être exclue, selon la BCE.
C’est pourquoi il y aura un test de résistance spécial en 2024 – un Cyber Resilience Stress Test – qui devrait clarifier dans quelle mesure les grandes banques de la zone euro sont armées contre les attaques contre leur infrastructure informatique, avec quelle rapidité elles peuvent repousser les cyberattaques. et quelles sont les faiblesses des banques.
Plus de 100 banques doivent se soumettre au premier cyber-stress test de la BCE. Concrètement, on simulera une cyberattaque grave perturbant les activités commerciales.