Koen de Kort aime le cirque de tournée, mais pas en tant que cavalier pour la première fois

Koen de Kort (40 ans) de Liempde a parcouru huit fois le Tour de France, le plus récemment en 2019. Il est maintenant dans la caravane en tant que responsable technique de l’équipe Lidl-Trek. Il y a deux ans, sa carrière de cycliste a pris fin brutalement à la suite d’un accident. Il a eu du mal avec ça, mais maintenant il est complètement satisfait de sa vie et de son travail pour l’équipe cycliste. Dimanche, Koen sera aux Pays-Bas pendant un certain temps et il sera l’invité du talk-show KRAAK d’Omroep Brabant.

Koen a perdu trois doigts de la main droite il y a deux ans dans un accident de buggy dans les montagnes d’Andorre où il vit. Il avait en fait déjà prévu ses adieux, mais cela a été forcé par l’accident six mois plus tôt.

Une fin brutale à une carrière de 17 ans en tant que cycliste professionnel. Une carrière qui a en fait commencé lorsqu’il a connu le début de la tournée à Den Bosch à l’âge de 13 ans en 1996. Il a été infecté par le virus du cyclisme qu’il porte avec lui à ce jour. Il s’est inscrit auprès de l’association cycliste Schijndel où il s’est avéré être un coureur talentueux. En 2004, il décroche son premier contrat professionnel.

Koen était connu comme un cavalier pour son abnégation. En tant que serviteur, il a remporté de nombreuses victoires d’étape pour des coureurs tels que Marcel Kittel et John Degenkolb. Il était considéré comme l’un des cyclistes les plus sociaux du peloton : dur avec lui-même, gentil avec les autres.

Il pourrait utiliser ce « dur pour lui-même » après cet accident en Andorre. Il a été dévasté par la perte de ces trois doigts. Jusqu’à ce que son père dise un jour : « Le pire, c’est que tu ne peux commander que sept bières de plus. »

Et maintenant, il se sent parfaitement à l’aise dans le rôle de Team Support Manager pour l’équipe américaine qu’il a lui-même longtemps pédalée. Il s’occupe du matériel et pendant le tour il explore le parcours pour les coureurs. Parce qu’il sait mieux que quiconque ce que c’est que de faire un Tour de France à vélo.

Plus loin dans KRAAK :

Le maire Roland van Kessel van Cranendonck à propos des nuisances causées par les demandeurs d’asile dans le village de Maarheeze. Dans une lettre urgente adressée au secrétaire d’État, il qualifie la situation d’insoutenable et demande que des mesures soient prises à court terme.

Et Sjef Weber de Helmond vient du camp de caravanes. Il sait à peine lire et écrire, mais son activité de démolition de voitures est en plein essor. Il a aidé son gendre Nieky Holzken à atteindre le sommet du kickboxing. Avec un livre sur sa vie sous le titre ‘Sjef de Sloper’, il espère supprimer les préjugés sur les campeurs.

KRAAK est diffusé en direct tous les dimanches à 12h puis rediffusé. Le programme peut également être consulté en ligne et via Brabant+.



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