Le ministère russe de la Défense avait donné à Kiev jusqu’à 5 heures du matin lundi matin (3 heures du matin en Belgique ; ndlr) pour que ses « combattants » déposent les armes dans la ville assiégée de Marioupol. Dans une lettre de huit pages, Moscou avait indiqué que dans ce cas, les « nationalistes ukrainiens » auraient la possibilité de quitter Marioupol sans armes par les couloirs humanitaires entre 10 heures et midi (entre 8 heures et 10 heures en Belgique).
Mais les Ukrainiens n’ont pas l’intention de se conformer à cette demande. « Ouvrez simplement un couloir au lieu de perdre votre temps avec une lettre de huit pages », a déclaré Vereshchuk en citant sa réponse aux opposants.