De la rédaction de BZ
C’est ainsi que vous, en tant que pop star, vous donnez envie d’écouter un nouvel album ces jours-ci !
Katy Perry (39 ans) fait la promotion de sa musique de manière assez nette et nue depuis des semaines. Sa nouvelle chanson « Woman’s World » et sa vidéo mettent tout en œuvre pour l’érotisme.
La reine de la pop s’attaque aux clichés courants sur les hommes et les femmes et a un message clair : être une femme doit être célébrée !
Dans la vidéo, elle apparaît comme une ouvrière du bâtiment sexy. Huilée dans un short moulant et un bikini, elle boit du whisky à la bouteille, utilise un urinoir et joue avec divers « outils ».
Un gadget allemand la rend particulièrement heureuse… Katy sort soudain un jouet sexuel de sa ceinture à outils – et il est fabriqué en Allemagne !
Avec « I Kissed a Girl » de 2008, la reine de la pop avait déjà encouragé ses fans à découvrir leurs propres préférences et désirs sexuels. Elle va maintenant encore plus loin avec son nouveau clip : « Every Woman’s World a besoin d’un Womanizer dedans ! »
Le sextoy « Womanzier » est spécialement conçu pour satisfaire les désirs sexuels des femmes. Le vibrateur à petites ondes de pression est désormais célèbre dans le monde entier. Et maintenant peut-être même un peu plus…
Est-ce juste une satire de Katy Perry ?
Quelle est la crédibilité d’une vidéo féministe qui veut défendre les femmes si la protagoniste agit manifestement comme un sex-symbol pour le monde des hommes ?
Dans une vidéo sur X, Katy Perry explique que le clip est volontairement exagéré. Il doit provoquer et encourager la discussion : « Vous pouvez tout faire. La satire aussi. Nous sommes un peu sarcastiques avec cela. C’est burlesque. Nous exagérons. »
Les opinions sur la nouvelle chanson varient en ligne.
Certains célèbrent son approche satirique et le fait qu’elle défend les femmes et la scène LGBTQ+. « La satire est un puissant outil de commentaire et d’expression. Continuez ainsi », écrit un utilisateur sur
Katy Perry a grandi dans un foyer religieux strict ; son père était prêtre. Enfant, « l’homosexualité […] « C’est synonyme de mots comme ‘horreur’ et ‘enfer' », a-t-elle révélé lors d’une cérémonie de remise de prix en 2017.
C’est pourquoi il est si important pour elle aujourd’hui de se lever : « Je ne cesserai jamais d’être une alliée, un projecteur et une voix aimante pour toutes les personnes LGBTQ. »