Kali Uchis joue avec la house dans le sexy ‘No Hay Ley’


Le premier single solo de Kali Uchis après son excellent deuxième album ‘Sin Miedo (del Amor y otros Demonios)’ – une œuvre qui deux ans plus tard continue de grandir à chaque écoute – représente jusqu’à présent un petit tournant dans sa carrière.

Si son début, où la voix de la Colombienne se détache sur une subtile couche de synthétiseurs, peut rappeler ses productions précédentes, il débouche bientôt sur un pré-refrain marqué par des rythmes house contagieux. Et le long de ce chemin, il continue tout au long de ses deux minutes. Il a également une production d’El Guincho et de Jam City, entre autres.

C’est la première fois que Kali mise aussi directement sur la piste de danse, et ça lui va à merveille. La chanson est une composition modeste et brève qui a tout pour réussir : c’est amusant, accrocheur et on en redemande. En ella, la cantante hace una oda al amor libre, fluyendo con naturalidad entre inglés y español, donde defiende que nadie tiene que entender lo que ella siente por su interés romántico, porque como bien dice, “Yo sé lo que siento cuando me das un bisou ». Peu importe qui aime ça. Et si quelqu’un a quelque chose à critiquer, il peut dire ce qu’il veut, car elle n’entend que « lararirararo » – une mélodie simple qui sert de refrain et qui fonctionne étonnamment bien.

Mais le point culminant, bien sûr, est son interprétation vocale toujours charismatique, énonçant chaque mot avec la sensualité et la confiance en soi qui la caractérisent, faisant de ‘No Hay Ley’ une chanson sexy et irrésistible.

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