Rétrospectivement, la dirigeante du D66, Sigrid Kaag, aurait aimé aborder l’affaire MeToo différemment au sein de son parti. C’était de sa faute, a-t-elle admis. Pourtant, elle ne voulait pas prendre tout le blâme. La direction du parti l’avait à tort rassurée et à ses yeux les médias avaient souvent évoqué le tapage ces derniers jours.
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