Jour de la peur: Degenkolb célèbre, les poids légers du vélo tremblent


Le jour de la peur, le cœur de John Degenkolb se soulève. Lorsque le Tour de France s’attaque mercredi à l’étape pavée de la tristement célèbre forêt d’Arenberg, le vétéran est dans sa zone de confort.

« Bien sûr, j’ai choisi cette étape », déclare le joueur de 33 ans. Après tout, un triomphe à Paris-Roubaix 2015 est sur son CV. De plus, le natif de Thuringe a gagné en 2018, lorsque la tournée a traversé « l’Enfer du Nord » pour la dernière fois.

Ce que Degenkolb attend avec impatience comme un petit enfant provoque parfois la panique parmi les prétendants à la victoire générale. « En fin de compte, il y en aura beaucoup qui seront heureux quand ce sera fini », déclare Degenkolb à propos de la cinquième étape de 153,7 kilomètres. « Ils seront heureux s’ils n’ont perdu qu’une minute ou deux ou s’ils n’ont pas à rentrer chez eux jusqu’au bout. »

Souvenirs de Paris-Roubaix

Les planificateurs d’itinéraires ont inclus onze sections sur les soi-disant pavés de la section. Quatre d’entre elles sont régulièrement engagées sur la classique Paris-Roubaix. Alors qu’il y avait beaucoup de secteurs courts en 2018, cette année ils sont plus sélects et plus longs. « La distance cumulée est moins importante que la longueur de chaque secteur », précise Thierry Gouvenou, responsable de la route.



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