Joosterhouter s’arrête après 9 ans et 420 vlogs sur Oosterhout : « Le gâteau est parti »


Cela a commencé il y a neuf ans comme une plaisanterie, mais « Joosterhouter » a désormais réalisé 420 vlogs. « L’objectif était de bien faire connaître Oosterhout. » Aujourd’hui, le résident Joost Roovers (41 ans) raccroche sa caméra de vlogging.

Dans son vlog d’adieu sur sa chaîne, qui compte près de 1 300 abonnés, le vlogger d’Oosterhout dit que le vlogging lui manquera vraiment chaque semaine, mais que cela lui cause beaucoup de stress. « Je dois commencer à faire plus attention à moi-même. »

Joosterhouter a commencé comme une blague, raconte-t-il à Omroep Brabant lors d’un vlogging. « J’ai assisté à tellement d’événements à Oosterhout que quelqu’un m’a suggéré de les filmer. »

« Aujourd’hui, je suis au-delà de la honte. »

Au début de sa carrière de vlogging, Joost était déclaré fou. « Alors je me promenais avec un téléphone et les gens disaient : ‘Je ne comprends pas ce que tu fais.’ Puis ils se sont tenus derrière moi pour écouter ce que j’avais à dire. Cela m’a rendu très nerveux. Aujourd’hui, je suis au-delà de la honte.

En attente des paramètres de confidentialité…

Il voulait faire connaître Oosterhout avec ses vlogs. Il a constaté que sa ville recevait à plusieurs reprises de mauvaises nouvelles, notamment lors des émeutes dans la Klappeijstraat, la salle de spectacle d’Oosterhout. « Il sera ensuite mis en valeur de cette manière. » Dommage, pensa Joost. « Oosterhout a bien plus à offrir. Je pensais qu’il était important de montrer : qu’est-ce qu’on fait ici, qu’est-ce qu’on a ici ? Et c’est beaucoup.

A LIRE AUSSI : Le vlogger municipal Bart Boom veut montrer à quel point Waalwijk est sympa

Du Parkfeest annuel à l’Oosterhout Live, en passant par le défilé du carnaval de Kuizendonk et l’exposition d’art dans le Triangle sacré : Joost était présent avec sa caméra de vlogging. Il a présenté aux téléspectateurs de son vlog la culture et l’histoire d’Oosterhout. « Je suis étonné de ne pas avoir encore reçu de ruban », plaisante-t-il dans sa 420e et dernière vidéo.

Il a d’abord partagé sa vie privée dans ses vlogs, mais il a arrêté de le faire après que des amis l’ont arnaqué. Après avoir quitté l’aide sociale, Joost a décidé de se concentrer uniquement sur Oosterhout dans ses vlogs.

Le vlogging pendant neuf ans a été « un enrichissement personnel », déclare Joost. Il a ainsi créé un réseau diversifié et il approche désormais plus facilement les autres. «Beaucoup de portes se sont ouvertes pour moi.»

La tournée de celui-ci égout d’eau propreIl sirène nageant à la piscine De Warande et au escalade de la tour Joost mentionne ses vlogs les plus mémorables de l’église Antonius vacante. « Mais c’est trop de choses à mentionner. »

« Le vlogging devenait un truc, mais j’ai besoin d’un défi. »

« La blague, c’est que c’est presque devenu un travail », réfléchit-il. Joost passait quatre à six heures chaque semaine à prendre des rendez-vous, à bloguer sur place et à monter ses images. « Mais les gens ne voient qu’une vidéo de dix minutes. »

Malgré le grand plaisir qu’il a eu à vlogging, le gâteau a désormais disparu. « Cela devenait de plus en plus un truc, mais j’ai besoin d’un défi. »

Après 420 vidéos, sa carrière de vlogging sous le nom de « Joosterhouter » touche à sa fin. Joost commencera à travailler à l’Office des eaux en août. Pourtant, son appareil photo ne capte pas encore la poussière. Dans un an, Joost souhaite réaliser un documentaire sur les Oosterhouters exerçant des professions particulières, comme celui d’orgue. « Mais d’abord : repose-toi. »



ttn-fr-32