Jeter les moutons presque en arrière sur la terre ferme : "La bergerie était vraiment une ruine"

Cela fait six mois depuis la tempête Eunice de bergerie à Laren a en partie explosé, mais les travaux de réparation battent leur plein. Cela signifie que le troupeau Gooise est chaud et sec juste à temps pendant les mois d’hiver. “Je suis très heureux quand le temps est fermé et sûr”, a déclaré le berger Rozenn le Buhan de la réserve naturelle de Goois (GNR).

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Le berger Rozenn se souvient encore du jour de la tempête. “En fait, je rentrais chez moi en voiture et quand j’ai reçu un appel des stagiaires. À un moment donné, tout ce que j’ai entendu, c’était des rugissements et de la panique.” La façade arrière de l’écurie, principalement les charpentes et les vitres, s’était effondrée à cause du vent violent.

Peu de temps après, Rozenn était lui-même dans l’étable et, heureusement, aucun mouton n’a été blessé. “Heureusement, il y avait un râtelier à foin où tout était plié, donc heureusement aucun mouton n’a été blessé.”

Découvrez les dégâts causés par la tempête ci-dessous.

Bergerie restaurée – NH Nieuws

La raison pour laquelle les travaux de réparation ont pris si longtemps est le règlement avec l’assurance. “Nous avons eu encore plus de dégâts à d’autres endroits à cause de la tempête”, explique Marcel Strijland du GNR. « Tout a été réglé avec des devis et la recherche d’entrepreneurs, cela prend juste du temps. »

Cependant, Rozenn peut rassurer tout le monde : la lenteur de la manipulation n’a eu aucun effet sur les dégâts. “Nous n’avons vraiment rien remarqué à propos des moutons.” En fait, les agneaux sont nés la nuit après la tempête.”

Les mois sans toit plein sur la tête n’étaient tout simplement pas toujours agréables. “Certainement pas quand il a neigé.”

“Le 15 décembre, c’est vraiment la date butoir, alors on a vraiment envie d’y aller”

Rozenn le Buhan – Réserve Naturelle du Berger de Goois

La bergerie fait également peau neuve à l’arrière. L’écurie en pierre y est lambrissée de planches de bois. « Tant qu’on y est, on voulait quelque chose qui s’intègre mieux au paysage », explique Marcel Strijland. En fin de compte, le GNR espère donner un nouveau look à l’ensemble de la grange. “Nous examinons également s’il est possible de placer des cellules solaires sur le toit.”

Moutons sur la terre ferme

Il y a une certaine précipitation au travail, car les moutons doivent rentrer avant trop longtemps. “Le 15 décembre c’est vraiment la date butoir, alors on a vraiment envie d’y entrer. La saison d’agnelage c’est début février et avant ça on a vraiment envie de nourrir un peu. Donc un petit mois et puis on revient.”



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