Jeroen Pauw craint Mariëlle Tweebeeke : « Elle va me battre »


Jeroen Pauw pense qu’il n’a aucune chance cette année de remporter le prix Sonja Barend de la meilleure interview télévisée de l’année. « Mes chances ont diminué à cause de Mariëlle Tweebeeke. »

© OBNL

Le prix professionnel de la meilleure interview télévisée de l’année, le Sonja Barend Award, sera à nouveau décerné dans deux semaines. Onze interviews sont au programme, dont celle de Jeroen Pauw avec Willibrord Fréquin. Cependant, le présentateur pense qu’il n’a aucune chance car Mariëlle Tweebeeke a également été nominée.

Jeroen a peur

Jeroen pense que le prix ira à Mariëlle cette année. «Eh bien, avec Mariëlle Tweebeeke et Zelensky comme concurrentes, mes chances ont un peu diminué. Je ne me considérais pas comme riche », dit-il dans le Guide VARA.

Parmi les autres prétendants figurent Catherine Keyl pour son entretien avec Johnny de Mol et Özcan Akyol pour sa conversation avec Herman Brusselmans. Toute la longue liste peut être trouvé ici.

Vers l’Ukraine

L’interview de Mariëlle avec le président ukrainien Zelensky était frappante, en partie parce qu’il s’est un peu énervé à un moment donné. Il est toujours le président d’un pays en guerre.

Jeroen s’est récemment rendu en Ukraine pour une émission qui sera diffusée mercredi prochain sur NPO 1, à savoir Jeroen Pauw en Ukraine. Il y montre ce qui arrive à l’argent qui est donné à ce pays. « C’est la sixième fois que je voyage après une levée de fonds pour répondre aux téléspectateurs. »

De nombreux bâtiments détruits

Qu’est-ce que Jeroen a trouvé en Ukraine ? « De nombreux bâtiments sont détruits et les mines terrestres doivent être déminées. La Refugee Foundation soutient cela afin que les champs puissent être semés et récoltés à nouveau. A Kharkiv, les habitants vivent sillonnés dans le métro, sans aucune forme d’intimité.

Il poursuit : « L’argent sert à fournir des tentes pour qu’ils aient leur propre place. Mais pensez aussi aux vêtements chauds et à l’argent liquide, car les Ukrainiens savent mieux ce dont ils ont besoin. Contrairement aux pays du tiers monde, beaucoup de choses fonctionnent bien ici. Les cafés sont ouverts, tout comme les restaurants.



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