M.air de Filippi elle a parlé à Mot de passeprogramme de RTL 102.5. Le protagoniste de l’épisode du 14 novembre était Kekko de Modà. Le chanteur a parlé de sa lutte contre la dépression et du retour du groupe sur la scène musicale. Puis, le présentateur, un ami du chanteur, est également intervenu. Maria a parlé de travail, de réseaux sociaux, mais aussi de fausses nouvelles et de son mari Maurizio Costanzo, est décédé l’année dernière en février. Parce que c’est exactement à qui ça fait référence de fausses nouvelles qui « m’ont fait bouillir le sang ».
Maria De Filippi et les réseaux sociaux
«Je lis les réseaux sociaux, je pense que je suis structuré. Mais il faudrait aider les jeunes à lire car ils sont tellement déstabilisants. À la télévision, nous avons essayé de ne pas offenser, de respecter, je ne comprends pas pourquoi cela n’arrive pas sur les réseaux sociaux », a déclaré Maria.
Fausses nouvelles
La présentatrice a ensuite raconté ce qui lui était arrivé et pourquoi elle était si en colère. «Un jour, j’ai croisé un gars qui avait probablement environ 65 ans et il disait des « conneries » d’une manière sérieuse.beaucoup de couilles avec sérieux sur moi. Et je me suis dit : « Je les montre presque à la télé pour que les gens comprennent. » Mais ensuite j’ai changé d’avis, parce que si je le montre, j’en ferai aussi de la publicité. »
D’où le choix de laisser tomber jusqu’à ce que « quelque chose qui m’énerve » se produise. L’intéressé a en effet affirmé que le présentateur avait volé l’héritage de Maurizio Costanzo à ses enfants.
J’ai renoncé à l’héritage de Maurizio Costanzo
«J’ai renoncé à l’héritage en faveur de mon fils et des enfants de Maurizio» souligne la présentatrice, démentant ainsi la fake news selon laquelle elle aurait volé l’héritage de son mari. «Un idiot qui dit ça sur les réseaux sociaux m’a fait bouillir le sang. J’étais une hyène », poursuit-il. Et il souligne : « Les réseaux sociaux, c’est beau car ils laissent à chacun la liberté de s’exprimer mais cela ne doit pas entrer en conflit avec le respect d’autrui. Il doit y avoir une limite. »
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