Un par un l’analyse des adversaires les plus difficiles dans la course à la médaille la plus importante pour la saison prochaine
Tout ce dont j’ai besoin, c’est de l’or mondial au 100 m pour faire le Grand Chelem de vitesse, pour boucler la boucle. L’année prochaine, à Budapest, j’aurai une seconde chance et j’ai bien l’intention de la saisir. Le dernier dans l’ordre chronologique à me lancer le défi, dès les pages de la Gazzetta, était Noah Lyles qui a promis que désormais il doublerait 100 et 200. Je suis prêt. En effet, je pense qu’il y en a d’autres dont je devrai me méfier. Je vous présente ici ce que je pense être mes adversaires les plus dangereux. Sachant que je ne baisse pas les bras face aux difficultés et que j’ai d’autres marges de progression : techniquement j’ai progressé en première partie de course, mais ma force reste après l’accélération, avec la possibilité de courir détendu, décontracté , mais rapide. Lyles m’étudie ? J’observe ce que font les autres, mais concentre-toi sur mes qualités : personne n’est grand et ne pèse comme moi ou n’a mes fibres musculaires. Je compte sur moi. Et j’irai encore loin