Jacobs de Monaco or au mariage avec Nicole : "Et déjà la coupe du monde"

Le champion olympique et européen du 100 m en couverture de notre hebdomadaire en kiosque samedi. Il y a aussi de la place pour des interviews avec le « Canadien » Bernardeschi et l’entraîneur d’Italbasket Pozzecco

Marcell Jacobs, l’homme à réaction, revient pour être le protagoniste de la couverture de Sportweek. L’hebdomadaire Gazzetta, en kiosque le samedi combiné avec le journal (et avec Enigmistica Sport en cadeau), enquête sur les secrets, les rêves et les projets futurs (pas seulement sportifs) du sprinteur bleu, nouveau vainqueur du 100 mètres aux Championnats d’Europe Championnats à Munich. Après cet énième exploit, Jacobs est définitivement entré parmi les immortels du sport italien, au niveau de Fausto Coppi et Sara Simeoni, Paolo Rossi et Federica Pellegrini. « Maintenant, pour terminer le Grand Chelem, tout ce dont j’ai besoin est le titre mondial en plein air que je n’ai pas remporté à Eugene. Heureusement, j’aurai une nouvelle chance dès la saison prochaine, à Budapest. Je vais essayer : mon viseur vise ce rendez-vous ». Mais l’engagement le plus proche pour Marcell n’est pas de nature sportive : le 17 septembre, à la Torre San Marco de Gardone Riviera, non loin de son Desenzano, il épousera Nicole. Parmi les invités se trouvait également le père, avec qui la relation n’a été renouvelée que dans la dernière période. « A Monaco », se souvient Jacobs, « c’était important de savoir que Nicole était dans les tribunes ».

Bernardeschi et le Poz aussi

Sur Sportweek, il y a aussi de la place pour le football, bien sûr : l’interview de Federico Bernardeschi qui nous raconte sa nouvelle vie canadienne est à lire. L’ancien joueur de la Juventus a débarqué en Mls avec le maillot de Toronto et est immédiatement devenu une idole des supporters : « J’ai l’impression d’être ici depuis des années, j’ai toujours marqué des buts, mais maintenant je me sens plus léger ». Aucun regret pour la Serie A laissée pour compte : « L’Amérique m’a toujours fasciné et en Europe un cercle s’était refermé : au-dessus de la Juventus il y a peu d’histoire et de blason. » Une autre interview exclusive est celle de Gianmarco Pozzecco, entraîneur de l’Italbasket qui, au seuil des 50 ans (« Mais j’en ai encore 18 ») s’apprête à mener l’équipe nationale italienne au Championnat d’Europe. Le Poz reste toujours le même, un modèle de folie lucide : « Cette fois j’ai lancé un coup dans les parties basses de Tanjevic, l’autre fois j’ai enfilé mes gants au village olympique et j’ai donné des coups de poing à n’importe qui… ». Bref, une interview à ne pas manquer et un nouveau numéro de Sportweek à découvrir.



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