Les filles de Velasco démarrent mal mais redressent ensuite le premier set et ne regardent plus en arrière. Première fois parmi les 4 premiers aux Jeux. Jeudi à 20h le défi contre la Turquie de Santarelli, mari de notre passeur De Gennaro

Journaliste

6 août 2024 (modifié à 22h37) -MILAN

Italvolley est une vague bleue déchaînée qui submerge tout. Après le retour épique des hommes de Fefè De Giorgi, hier contre les inépuisables Japonais, toujours en quarts de finale, les femmes de Julio Velasco ont écrasé la championne du monde Serbie 3-0 et ont continué la course à l’or olympique que nous n’avons jamais gagné bien que nous ayons également remporté le championnat mondial et continental. titres pour les femmes. Italdonne n’avait jamais atteint une demi-finale olympique. Jeudi à 20h00, nous devrons mériter la finale contre la Turquie de Daniele Santarelli, mari de notre passeuse Monica De Gennaro. Pour continuer les similitudes avec les mâles, une croix de cœur qui égale celle d’Andrea Giani, recordman italien (474 ​​apparitions) mais désormais sélectionneur de France que nous défierons demain, toujours à 20h.

Le match

Toujours comme la bande de De Giorgi lundi, les Italiennes (avec Antropova sur le banc) ont également mal démarré, distraites en réponse et ternes en attaque (trois erreurs d’emblée), mais elles ont eu la force de se relever immédiatement grâce au blocage et les intrigues tissées par De Gennaro, également douée psychologiquement pour impliquer ses coéquipières qui viennent de commettre une erreur (n’est-ce pas, Sylla ?). On descend (9-14), mais on remonte point par point avec le calme du fort, commençant à semer le doute jusque dans la tête du monstre Boskovic. La remontée s’effectue à 22 points, mais à partir de là, on ne regarde plus en arrière.

je m’étire

Après avoir remporté le premier set 26-24 à la deuxième balle de set, nous avons prolongé l’avance même après la pause malgré les tentatives de Giovanni Guidetti (un autre entraîneur italien, confirmant que les Italiens font mieux) et avons géré le set sans jamais déborder, mais pas même en prenant des risques. Le deuxième set se termine 25-20 et le troisième est un crescendo bleu jusqu’à l’apothéose, malgré deux balles de match gâchées sur le service de Boskovic.





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