Italrugby, maintenant pas de révolutions. Quesada repart de l’identité et du jeu

Le nouvel entraîneur devra continuer sur le chemin tracé par Crowley : l’âge moyen de l’équipe laisse penser qu’il y a peut-être un avenir

Cent dix-huit jours : à bientôt jusqu’au samedi 3 février et Italie-Angleterre, le prochain match italien : il marquera ses débuts dans les Six Nations 2024. L’équipe nationale – jubilé de Kieran Crowley – cet après-midi-là, à l’Olimpico de Rome, sera dirigé par Gonzalo Quesada.

NON À LA RÉVOLUTION

L’ancien ouvreur des Pumas, premier entraîneur argentin sur le banc italien, malgré les résultats des dernières saisons (un succès lors des 42 derniers matches du Tournoi, les deux échecs consécutifs en France 2023), pour tenter de relancer la fortune de l’équipe – et donc du mouvement – il ne faudra pas faire de révolution. Parce qu’il sera difficile de trouver rapidement de nouvelles forces à insérer : ce sont… Et parce que le prédécesseur, en deux ans de sa direction, a tracé un chemin, a indiqué un chemin. Dans ces heures, ce n’est pas facile de le dire ni de le croire : mais l’équipe qui a affronté la Coupe du Monde peut avoir un avenir. En raison de l’âge moyen des joueurs et parce qu’à de nombreuses reprises durant l’ère Crowley, il a démontré qu’il avait une identité précise et un jeu efficace. Nous devons partir de là.



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