Inzaghi : "Fede s’y est aussi habitué à l’entraînement, il le mérite"

L’entraîneur de l’Inter après le 2-0 contre Frosinone: « On voit rarement des buts comme celui-ci, maintenant ça doit faire le tour du monde. Je l’ai félicité »

Après un tableau comme celui-ci, les premiers mots ne peuvent être dédiés qu’à l’artiste de l’Inter-Frosinone, qui s’appelle Federico Dimarco : « Il est clair qu’il a marqué un Eurobut qui fera le tour du monde – Simone Inzaghi le félicite à la fin  » du match, il le mérite. C’était un match équilibré, nous avions commis peu d’erreurs à quelques reprises et ce superbe but nous a ouvert le match et en seconde période nous avons vécu un match plus calme. Dimarco nous a habitués à lui, même à l’entraînement : il a des qualités balistiques et pas seulement celles-là. C’est un but qu’on voit rarement, je l’ai félicité. À lui et aux garçons, ils doivent continuer comme ça. »

Les mots

L’Inter-Frosinone n’a cependant pas été une soirée de volte-face pour les leaders du championnat : « Le sentiment – continue l’entraîneur – c’est que chaque match de Serie A est difficile. C’est difficile de s’y préparer, aujourd’hui nous nous attendions à un autre système et  » Cela nous est arrivé dans d’autres matches. Les joueurs de Frosinone sont bien entraînés et préparés, ils ont changé le système et nous avons dû réagir immédiatement. Nous venions de matches coûteux, ce furent six matches merveilleux. Mais tous les matches ont des difficultés.  » Six, comme l’explique Inzaghi lui-même, sont les matches consécutifs que l’Inter a remportés depuis la dernière trêve nationale entre la Serie A et la Ligue des Champions. Pour un début de saison sublime : « L’été j’étais confiant, le temps nous le dira. Les seize premières courses se sont déroulées de la meilleure façon possible, les garçons travaillent bien et ensemble et Ensemble ce doit être notre parole. J’essaie d’utiliser tout le monde : le championnat est long et il y aura des difficultés, il faudra faire la différence, dans les moments difficiles, il faudra que tout le monde ensemble s’en sorte de la meilleure façon possible. »

Question de chiffres

Enfin, Inzaghi déroule les chiffres des séances vertueuses du marché des transferts du club au fil des saisons avec lui sur le banc : « Je ne fais pas les grilles des favoris. Je promets de bien faire dans tous les matches possibles comme ce fut le cas l’an dernier. aussi en Europe : là-bas, ils sont considérés comme favoris en fonction de notre façon de jouer. Nous ne sommes pas les plus riches pour le moment compte tenu des trois derniers marchés de transfert : bénéfice de 120 millions la première année, bénéfice de 30 millions la deuxième année et zéro malgré la finale de la Ligue des Champions cette année. Nous savons que nous avons de grands managers et un président qui est proche de nous et dans les moments difficiles, nous avons fait ressortir le meilleur. »





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