Indignation alors qu’une jeune fille de 14 ans a été violée collectivement avant d’être brûlée vive dans un fourneau, alors que son frère retrouve des restes au Rajasthan


Une JEUNE fille de 14 ans a été brutalement violée collectivement et brûlée vive dans un four, avant d’être retrouvée par son frère.

L’horrible découverte a été faite après avoir découvert le bracelet de l’adolescent et des restes de vêtements dans une cheminée, au Rajasthan, en Inde.

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Le public organise une manifestation contre la violence dans l’État de Manipur, dans le nord-est de l’Inde.Crédit : Getty
Des militantes de l'All India Progressive Women's Association (AIPWA) protestent après le meurtre d'une jeune fille de 19 ans.

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Des militantes de l’All India Progressive Women’s Association (AIPWA) protestent après le meurtre d’une jeune fille de 19 ans.Crédit : AFP

La victime, qui ne peut être nommée, aurait disparu après être sortie voir les chèvres de la famille le 3 août dernier.

Lorsqu’elle n’est pas rentrée chez elle, une équipe de recherche a été lancée.

Pendant la chasse à sa sœur, l’attention du garçon fut attirée par des nuages ​​noirs s’élevant d’un four voisin.

La police a confirmé dans un communiqué : « La fumée s’échappant de l’un des fours a attiré son attention et l’a rendu suspect car ils n’étaient pas actifs dans la soirée.

« Il a fouillé le four avec un bâton et a passé au crible les objets carbonisés. »

Le garçon au cœur brisé a retrouvé le bracelet de sa sœur, celui qu’il lui avait offert quelques jours seulement avant l’horreur indescriptible.

Plusieurs parties du corps et des vêtements calcinés ont été récupérés dans le four par des experts légistes spécialisés, tandis que d’autres restes ont été retrouvés abandonnés dans les environs.

Il a été conclu que la jeune fille avait été tragiquement incendiée alors qu’elle était encore en vie, après que des tueurs maléfiques l’aient aspergée de liquides inflammables.

Les policiers ont révélé qu’ils avaient inculpé 11 hommes en lien avec ce viol et ce meurtre inquiétants.

Comme le rapporte Temps de l’Indeun acte d’accusation déposé par l’enquêteur et le DSP de Kotari Shyam Sunder Bishnoi, allègue que deux mineurs ont été inculpés en relation avec le crime.

Cette affaire pénible a provoqué l’indignation dans tout le pays, alors que le mouvement visant à mettre fin à la violence contre les femmes continue de prendre de l’ampleur.

Cela survient après que les policiers de Manipur ont été accusés d’avoir livré deux femmes à une foule armée avant qu’elles ne soient promenées nues dans la rue dans une vidéo troublante.

La semaine dernière, la Cour suprême a déclaré que la police aurait confié les jeunes victimes à des hordes d’hommes, qui les auraient ensuite abusées sexuellement.

La violence extrême infligée aux jeunes victimes par des centaines d’hommes, le 4 mai dernier, a déclenché des protestations dans tout l’État.

Des images pénibles montraient les deux femmes traînées dans un champ après avoir été pelotées par des brutes.

Selon un rapport de police déposé le 18 mai, les victimes faisaient partie d’une famille et ont été attaquées par une foule de 800 à 1 000 hommes.

Ils auraient fui à travers une forêt, lorsque les agents locaux ont affirmé qu’ils les conduiraient en lieu sûr.

Mais les complices affirment qu’ils ont été : « bloqués en chemin par une foule et arrachés à la garde de l’équipe de police ».

Un homme de 56 ans aurait été tué sur le coup, alors que trois femmes de sa famille avaient été obligées de se déshabiller.

Une femme de 21 ans faisant partie du groupe aurait été « brutalement violée collectivement en plein jour ».

Son « jeune frère a tenté de défendre la pudeur et la vie de sa sœur, mais il a été assassiné sur place par des membres de la foule », ajoute le communiqué.

La Cour suprême a depuis critiqué le gouvernement du Manipur et la police de l’État indien.

« Depuis deux mois, il y a un effondrement total de l’ordre public à Manipur, il n’y a plus d’ordre public », a déclaré le tribunal.

« La police n’a aucun contrôle sur la situation, on dirait que depuis deux mois, elle n’a procédé à aucune arrestation et n’a pas enregistré de déclarations.

« Deux femmes ont déclaré avoir été livrées à la foule par la police. Des mesures ont-elles été prises contre la police ? » ont-ils ajouté.

Le Forum des chefs tribaux autochtones (ITLF) a condamné l’attaque contre cette femme, la qualifiant de « écoeurante » et a également affirmé qu’une femme avait été victime d’un viol collectif.

Le mois dernier, le Premier ministre Narendra Modi a déclaré que l’incident avait « fait honte à l’Inde » et qu’« aucun coupable ne serait épargné ».

Il a déclaré : « J’assure la nation, la loi suivra son cours de toutes ses forces.

« Ce qui est arrivé aux filles de Manipur ne pourra jamais être pardonné. »

Biren Singh, ministre en chef du Manipur : « Une enquête approfondie est actuellement en cours et nous veillerons à ce que des mesures strictes soient prises contre tous les auteurs, notamment en envisageant la possibilité d’une peine capitale. »

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Il a déclaré que des arrestations avaient eu lieu, mais n’a pas précisé leur nombre.

Des manifestations contre la violence contre les femmes ont été déclenchées ces dernières années dans un contexte de craintes croissantes

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Des manifestations contre la violence contre les femmes ont été déclenchées ces dernières années dans un contexte de craintes croissantesCrédit : Reuters



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