Nous sommes à Athènes, il y a deux mille six cents ans, et un monsieur veut planter un parterre de fleurs sur la pelouse devant le plus grand temple de la ville, l’Acropole. Il a demandé aux messieurs importants, aux aristocrates qui dirigent la ville, mais malheureusement ils n’aiment pas ça. Ils n’aiment pas les fleurs, ils veulent que leurs hoplites courent tous les matins sur ce carré d’herbe. Le soleil brille, les raisins sont remarquablement sucrés cet automne et parce que le monsieur du parterre de fleurs peut parler avec beaucoup d’enthousiasme de ses fleurs rêvées, une révolution éclate. Les aristocrates sont bannis et le pouvoir revient au gentilhomme qui aime les fleurs.