Dà Paris 2024, Simone Biles il n’a pas seulement remporté trois médailles d’or et une d’argent, mais aussi une histoire incroyable à raconter. Après avoir enchanté le monde aux JO avec ses performances époustouflantes, la reine de la gymnastique artistique de 27 ans avait une expérience moins scintillante dans un club parisien. Une fois l’épreuve de cinq cercles terminée, l’athlète aurait fait l’objet d’une tentative d’arnaque qui risquait lui a coûté jusqu’à 26 mille dollars. Toute la « faute » d’une seule bouteille de champagne.

Simone Biles et la réception choc

affaire était raconté directement par Biles elle-même sur son profil TikTokoù la gymnaste, tout en se maquillant avec la nonchalance que seules celles qui ont remporté quatre médailles olympiques peuvent se permettre, a partagé son incrédulité sur ce qui s’est passé: «Nous avons eu la cérémonie de clôture aux Jeux olympiques et j’y suis allée», a expliqué Simone. « Et puis nous sommes sortis. Les garçons, ce club a essayé de me facturer 26 000 dollars pour une bouteille de champagne. Êtes-vous fou?», s’est-il exclamé entre étonnement et colère.

Le refus

Aussi absurde que puisse paraître le prix, il n’est pas rare dans certains lieux de luxe, les chiffres atteignent des sommets vertigineux. Mais même pour une superstar comme Simone Biles, habituée à dépasser toutes les limites, ce qui lui était proposé lui paraissait vraiment trop. «Évidemment, je ne les ai pas payés»dit-il ironiquement, ajoutant qu’il ne comprend toujours pas le pourquoi quelqu’un essaierait de « se moquer d’elle comme ça ».

Le mystère du club parisien

Bien que la gymnaste américaine n’a pas révélé le nom de la discothèque en questionil est facile d’imaginer ce que c’était. En effet, peu de temps après la cérémonie de clôture des Jeux olympiques, la gymnaste a partagé quelques vidéos sur Instagram qui ils l’ont représentée dans le célèbre « L’Arc Paris« un club à deux pas de l’Arc de Triomphe. Certains utilisateurs ont également tenté de la taquiner, lui demandant dans les commentaires si c’était réellement le lieu incriminé. Il n’a pas encore répondu. Qui sait, même aux États-Unis, on connaît le dicton : « On dit le péché, mais pas le pécheur ».

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