Les clubs anglais allouent 4,3 milliards aux signatures contre les 2 italiens. Et avec la dépréciation, l’écart se creuse encore plus. Un pouvoir d’achat construit depuis 30 ans
Il y a 4 milliards de séparations entre nous et eux. En un an, les clubs de Premier League récoltent 4 milliards de plus que ceux de Serie A. Il faut partir de là, des revenus que la ligue la plus glamour du monde a accumulés en trente ans de bonnes politiques et de visions à long terme, pour expliquer la dynamique quotidienne du marché des transferts. Question de pouvoir de dépenser.