Une base de données européenne dans laquelle un pays peut savoir quand un autre soupçonne une personne de terrorisme. Cela aurait-il pu empêcher l’attentat de lundi à Bruxelles ? Une telle base de données existe. Il contient un quart de million de noms et a été consulté plus de treize millions de fois l’année dernière. Mais Abdesalem Lassoued, l’homme qui a assassiné deux supporters de football suédois au nom de l’EI, n’en faisait pas partie. À qui est la faute ?



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