NonC’est l’histoire de notre pays c’est la première réforme du secteur et elle est attendue depuis la fin des années 1990, quand on a commencé à en discuter. La combinaison du vieillissement de la population et des retards dans les politiques sociales, en effet, fait de réforme de l’aide aux personnes âgées non autonomes une opportunité que l’Italie ne peut pas laisser passer.
Réforme de la prise en charge des personnes âgées non autonomes
Le Gouvernement vient d’approuver le décret législatif qui alloue 1 milliard sur deux ans pour réforme des soins et vieillissement actif. Il s’agit de ressources qui serviront à garantir aux personnes âgées une vie paisible, active et digne, en garantissant, dans la mesure du possible, le droit à continuez à vivre et à prendre soin de vous dans votre propre maison. Cette excellente nouvelle a malheureusement été ébranlée par le fait que certaines rumeurs ont déjà dû être revues à la baisse.
Une allocation d’accompagnement plus riche
La règle transformera leactuel allocation d’accompagnement dans un prestation universelle pour non-autosuffisance. Une augmentation de l’allocation allant jusqu’à 200 % pour les plus de quatre-vingts ans sera donc introduite à titre expérimental, compte tenu des ressources limitées. dans des conditions très graves. Pour eux on passera par une allocation de compagnon ce qui équivaut désormais à 531,76 euros à un, en 2025, de 1 380 euros qui peuvent être dépensés en services, soins et assistance.
La prestation universelle, à partir de Janvier de l’année prochaineça viendra fourni par l’INPS et il sera reconnu, à ceux qui en feront la demande, à la personne âgée non autonome qui répond à certaines exigences. Qui sont : un âge chronologique d’au moins 80 ans, un besoin de soins très important, un Isee pour les services sociaux et de santé subventionnés ne dépassant pas 6 000 euros.
Soins à domicile
Un point central de la réforme est celui des soins à domicile. Dans les dernières versions du décret, seule la coordination des services à domicile actuels est toutefois établie, sans préciser la durée des soins ni les professions concernées. Avec la réforme, le Dispositif national pour la population âgée non autonome (Snaa). Celui-ci organisera la mise en œuvre de toutes les mesures publiques de l’État, des Régions et des Communes dédiées à l’assistance aux personnes âgées non autonomes. Le bras opérationnel du Snaa sera le Cipa, Comité interministériel des politiques en faveur des personnes âgées.
Ce qu’en pensent les experts du secteur
L’intervention n’a pas trouvé une pleine faveur auprès des organisations du secteur, qui s’attendaient plutôt à une inondation mise en œuvre de la loi de non-autosuffisance, lancée il y a un peu plus d’un an. En fait, cette nouvelle mesure ne concerne que 25 000 personnes âgéesalors que l’ensemble du public, correspondant aux plus de soixante-cinq bénéficiaires de l’allocation d’accompagnement, s’élève à 1,4 million de personnes âgées, dont un million de personnes de plus de quatre-vingts ans. Malheureusement, ils devront attendre maintenant.
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