SSelon les premières investigations des Carabiniers, la femme elle accoucherait à l’aube dans sa chambre. Dans la maison d’Osilo, dans la province de Sassari, au nord de la Sardaigne, où il vit avec ses parents et grands-parents. Après l’accouchement, la femme de 29 ans a elle-même coupé le cordon ombilical. Puis elle sortait dans la rue et apparemment décidé de laisser le bébé avec le cordon ombilical toujours attaché sous une voiture garée. Un passant l’a trouvé là, présentant des signes évidents d’hypothermie. Ainsi commença la vie de nouveau-né abandonné à Osilo ce matin.
La mère du nouveau-né abandonné dans la rue à Osilo arrêtée
Sa mère était arrêté pour tentative de meurtre. Admise au service de gynécologie de l’hôpital de Sassari, gardé par la police, il semble qu’elle ait été dénoncée par sa mère, la grand-mère de l’enfant.
Le nouveau-né est plutôt hospitalisé dans le service de soins intensifs néonatals et de néonatalogie maternelle et infantile de l’AOU de Sassari. Les médecins l’ont nommé Francescocomme l’a déclaré le chef du service, médecin, à l’Unione Sarda Maria Antonia Cossu.
Nouveau-nés abandonnés, de Tarente à Trapani
Il y a à peine deux mois, il y a eu à Tarente le cas d’un nouveau-né abandonné : un Géorgien de 23 ans avait a laissé son fils près d’une poubelle. Même dans ce cas, comme à Osilo, le petit garçon avait été retrouvé par un passant qui promenait son chien. La jeune femme de 23 ans a ensuite exprimé son désir de reconnaître l’enfant, qu’ils ont nommé Lorenzo à l’hôpital.
Un autre cas récent est celui d’un nouveau-né retrouvé dans un sac en plastique dans les champs de Paceco, dans la province de Trapani, retrouvé par un agriculteur qui avait entendu ses pleurs. Un garçon et une fille mineure ont ensuite été arrêtés pour tentative de meurtre : ils auraient décidé ensemble de se débarrasser du nouveau-né.
Les alternatives pour les mères désespérées : accoucher anonymement à l’hôpital
Nous ne connaissons pas l’histoire de la mère du nouveau-né abandonné à Osilo. Mais nous l’imaginons rempli de désespoir et de peu de conscience de la valeur de la vie. Mais aussi de l’ignorance de ce que la loi prévoit pour les femmes qui ne veulent pas élever ou reconnaître leurs enfants. En Italie, il existe deux possibilités, évidemment très peu connues, avec lesquelles une mère peut renoncer à l’être sans condamner son enfant à une mort presque certaine.
Le premier est la naissance anonyme à l’hôpital. La mère donne naissance à son bébé sans avoir à enregistrer votre identité protection sanitaire et juridique maximale. La loi le permet (Décret présidentiel 396/2000, art. 30, paragraphe 2). Dans ce cas, le nom de la mère reste à jamais secret et sur l’acte de naissance de l’enfant il est écrit « né d’une femme qui ne consent pas à être nommé ». Le signalement immédiat au Parquet près le tribunal pour enfants de la situation d’abandon du nouveau-né non reconnu, permet l’ouverture d’une procédure d’adoptabilité et l’identification, dans des délais très courts, d’un couple adapté.
Selon la loi 149 de 2001, la personne adoptée ne peut avoir accès à l’identité de ses parents biologiques que si elle a été reconnue à la naissance, et non lorsqu’une naissance anonyme a été demandée.
Le berceau de la vie (mais il n’y en a pas en Sardaigne)
L’autre possibilité, en Italie, est de placer l’enfant dans l’un des (rares) Des berceaux pour la vie. Voici le moteur de recherche pour trouver le plus proche. SIls ne sont qu’une soixantaine, inégalement répartis sur le territoire.. Il n’y en a pas en Sardaigne, mais pas même en Basilicate, en Molise, en Sardaigne et dans le Frioul-Vénétie Julienne.
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