Yevgeny Prigozhin a systématiquement engagé des personnes pour se faire passer pour des victimes des forces ukrainiennes lors des entretiens. C’est ce qu’affirment d’anciens employés de son empire médiatique Patriot, que l’ex-dirigeant de Wagner a fermé après la mutinerie ratée fin juin. Par exemple, une interview serait parue en 2014 dans laquelle une femme engagée affirme avoir vu la crucifixion d’un enfant de trois ans par des nationalistes ukrainiens.
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