Hélène Hendriks étourdit Pieter Omtzigt avec sa proposition d’héberger les demandeurs d’asile dans des bordels. « Vous pensez que je plaisante, mais ce n’est pas le cas », dit-elle au politicien.
Pieter Omtzigt s’est plaint hier soir à la table de discussion HLF8 de la politique ad hoc en matière de logement des demandeurs d’asile. Il estime que nous devons résoudre la crise de l’asile par des solutions structurelles. « Nous allons maintenant louer à nouveau un certain nombre de navires de croisière pendant six mois, puis ils reviendront. »
Bordels à libérer
L’hôtesse Hélène Hendriks fait alors une proposition assez curieuse : « Les maisons closes seront libérées. »
Cela conduit à l’étonnement chez Pieter. « Le ? » demande-t-il.
Hélène : « Bordels sera libéré. »
Cela fait rire le public. Hélène : « J’ai lu dans le journal aujourd’hui. Les prostituées sortent, les bordels sortent. Cela pourrait être une solution. Une solution. »
Les prostituées travaillent à domicile
Hélène fait référence à la article du Telegraaf que les prostituées préfèrent de plus en plus ne pas venir au bureau. « Le travail à domicile devient à la mode », semble-t-il. Et du coup, de plus en plus de bordels doivent fermer leurs portes.
Pieter pense un instant qu’Hélène fait une blague déplacée : « Non, je ne rentre pas dans ce genre de choses… C’est un commentaire très sérieux.
Hélène : « Oui, ça aussi. »
‘Sans blague’
Puis Pieter reprend le point qu’il veut faire valoir : » Si vous dites : » Un bateau vient ici pendant six mois et il s’en va et il y a mille personnes dedans « , alors je sais que nous aurons une autre crise en mars, car où vont loger ces milliers de personnes ?
Hélène souligne alors qu’elle ne cherchait pas à faire une blague déplacée, mais qu’il s’agit d’une proposition sérieuse. « Au fait, tu penses que je plaisante, mais ce n’est pas le cas. »
Pieter: « Eh bien, je le pensais, oui. »
Hélène : « Oui, je plaisante souvent, mais pas celle-là. »