Harcèlement GGD Heerlen : la justice exige des travaux d’intérêt général

Les deux antivaxeurs qui ont attaqué le personnel du GGD à Heerlen le mois dernier recevront des travaux d’intérêt général si cela dépend du ministère public (OM).

Le tribunal a requis mercredi 100 heures de travaux d’intérêt général contre la femme, 80 heures contre l’homme. Le procureur a également voulu mettre deux mois de prison avec sursis pour le duo, s’ils commettent à nouveau la faute.

Prononciation du jeudi
La femme Heerlen et les Hoensbroekenaar sont soupçonnés d’agression, de menaces et d’insultes envers le personnel du GGD. Le juge de police aurait normalement voulu également statuer sur cette affaire immédiatement via le système de justice sommaire, mais en raison de la « perplexité », le juge a besoin d’un temps de réflexion supplémentaire.

Le verdict sera rendu jeudi à 14 heures.

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Génocide
Le duo a été arrêté le vendredi 18 février, plus d’une semaine après leurs actions dans deux stations GGD à Heerlen. Le mercredi 9 février, ils ont attaqué un lieu de test à Heerlerheide, un jour plus tard, ils ont attaqué le lieu de test et de vaccination sur le Palemigerbord. Ils ont exigé des employés du GGD qu’ils lisent une lettre, ont accusé le GGD, entre autres, de « génocide contre la population néerlandaise » et ont menacé de « tribunaux ». Il y avait aussi un push and pull.

Condition
Après que l’homme et la femme aient été arrêtés, ils ont été détenus pendant un certain temps. Le duo a finalement été libéré. La condition est qu’ils restent à l’écart des lieux de vaccination ou de test du GGD.

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