Comme on le sait, le contrat de Lewis Hamilton avec Mercedes expire à la fin de la saison, mais on ne sait toujours pas comment les choses continueront par la suite. Des spéculations ont récemment surgi qui liaient le septuple champion du monde de Formule 1 à un changement chez Ferrari. L’ex-pilote Ralf Schumacher a une opinion claire à ce sujet.
« Je pense que ce n’est qu’une rumeur pour plusieurs raisons », a déclaré mardi le jeune frère de la légende de la Formule 1 Michael Schumacher dans une interview accordée à « Sky ».
Hamilton est « très content là où il est et a encore un compte à régler », a expliqué le joueur de 47 ans, qui voit actuellement l’Anglais dans une « très bonne équipe ». Ferrari, en revanche, est un seul « gros point d’interrogation ».
Schumacher a également révélé que Hamilton avait récemment révélé lors d’un événement à Stuttgart qu’il souhaitait mettre fin à sa carrière chez Mercedes. Après cela, il veut agir en tant qu’ambassadeur de la marque Silver Arrows.
Schumacher : l’échange de pilotes « très, très improbable »
Le « Daily Mail » anglais avait précédemment affirmé que Ferrari prévoyait d’offrir à Hamilton un méga contrat d’une valeur d’environ 46 millions d’euros. L’idée est promue dans les comités supérieurs de la Scuderia.
En toile de fond, la volonté d’Hamilton d’y remporter son huitième titre mondial, battant le record de Michael Schumacher. L’Allemand a remporté cinq de ses sept titres avec les Italiens.
L’option préférée est d’établir le Britannique comme le deuxième meilleur pilote aux côtés de Charles Leclerc. Mais il est aussi concevable que l’on « sacrifie » les Monégasques.
Dans cette constellation, Carlos Sainz devrait conserver son cockpit. Pendant ce temps, Leclerc ferait probablement le pas inverse et reprendrait la Mercedes de Hamilton.
Pourtant, Ralf Schumacher ne croit pas à un tel scénario. « Si vous regardez le taux d’erreur de Leclerc et Hamilton ces derniers temps, il n’y a pas deux opinions. Lewis est le pilote le plus cohérent », a précisé l’ex-pilote. Il considère donc un échange comme « très, très improbable ».