Guide du football, de l’UNICEF et de la FIGC présenté pour protéger les droits de l’enfant

Écouter et mettre les enfants au centre: c’est l’objectif de la FIGC et de l’Unicef ​​​​qui ont présenté la publication «Children Before Players» au siège de Rome de la Fédération de football: un guide pratique sur la promotion des droits de l’enfant dans le sport, en particulier dans Football. «C’est un guide qui indique une série d’étapes et de protocoles que tous les responsables, les formateurs doivent suivre – a déclaré le président de la FIGC, Gabriele Gravina -, car la protection des mineurs, que nous tenons pour acquise, ne l’est pas. Monter la barre vers l’attention sur des questions aussi délicates est un devoir de chacun. Nous vivons une demande sociale pour une série de principes liés aux droits, mais on entend peu parler de sport. Pour les adultes et surtout les enfants, c’est sacro-saint, c’est un moment de formation. Une société qui ne fait pas de sport est une communauté plus faible et plus pauvre sur le plan humain ».

La publication

La publication « Les enfants avant les joueurs » se compose d’un kit de documentation et d’une série de listes de contrôle et de suggestions pour réglementer les règles, les responsabilités et les modalités de gestion des mineurs confiés aux clubs dans le but de contribuer à créer un environnement sportif visant le bien-être des footballeurs et joueurs mineurs. «Ce guide met l’accent sur des questions fondamentales – a expliqué la présidente de l’Unicef ​​​​Italie, Carmela Pace -. L’écoute est essentielle, nous savons que les enfants veulent être entendus. En famille, à l’école et dans le sport il faut le faire, pour mieux suivre leurs chemins et en faire des hommes épanouis. Des efforts doivent être consacrés à la formation à tous les niveaux ».
«La publication n’est pas seulement une déclaration de principes, mais il y a des listes de contrôle pour comprendre si nous sommes vraiment du côté des enfants – les mots du directeur général de l’Unicef ​​​​Italie, Paolo Rozera -. Certains pensent que les adultes devraient écrire une politique sur les enfants, sans les écouter, mais nous ne pensons pas que ce soit possible. Si le sport est capable de mettre l’enfant au centre, il est possible de comprendre immédiatement si l’enfant manifeste un malaise mental ou autre. Voilà donc que le sport peut peut-être résoudre le problème aussi grâce au réseau créé autour de l’enfant ».



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