Guglielmo, le Sicilien que personne ne pouvait frapper. Pas même la mort

Petit, maigre, il a sublimé l’art de ne pas en prendre jusqu’à ce qu’il devienne l’un des plus grands boxeurs de tous les temps. Légendes rencontrées dans une grange, manches gagnées sans coup férir, crashs d’avion, six épouses : la vie incroyable de Guglielmo Papaleo, alias Willie Pep

“ Damn America », dit William dans le miroir. Le seul qui le comprend parmi les centaines de personnes qui l’entourent est l’homme qui se recoud le visage, le Dr Nardiello, fils de Napolitains, éminence de la boxe, chez lui dans les vestiaires du Madison Square Garden. Ils sont juste là, Guglielmo a une blessure qui lui coupe la joue gauche et deux yeux gonflés de sang comme des fraises, mais il sourit. Nous sommes le 11 février 1949 et deux événements uniques viennent de se produire dans l’histoire de la boxe.



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