Guerre en Israël : le mari d’Andrea Kiewel part au front comme réserviste


La présentatrice Andrea Kiewel (« ZDF Fernsehengarten ») se trouve actuellement dans sa patrie d’adoption, Israël – même lorsque l’état de guerre y a été déclaré samedi 7 octobre après une attaque terroriste du Hamas. Dans le « Général juif » Kiewel raconte ses expériences dramatiques ce jour-là dans un téléscripteur en direct. Et ses sentiments – son mari est réserviste et est en cours de conscription.

Sept heures du matin le jour de l’attaque du Hamas

Tout a commencé à sept heures du matin avec un message inquiétant de la future belle-mère de Kiewel et une sirène hurlante qui, peu après, l’a forcée à se réfugier dans son appartement. Kiewel décrit ses mains tremblantes et les larmes coulant sur ses joues alors qu’elle regardait le bruit des missiles interceptés passer à travers le Dôme de Fer, le système de défense antimissile israélien.

Communauté de ménages solidaire

Après avoir initialement supposé qu’il s’agissait d’une autre attaque à la roquette depuis Gaza, chose à laquelle elle s’était habituée au fil des années, cette attaque s’est avérée « différente ».

À 7h30, Kiewel écrit : « Les terroristes ont franchi la frontière avec Israël et tuent des femmes, des hommes, des enfants et des soldats dans les villes et les kibboutzim du sud. Ils prennent des otages et courent dans les rues en tirant des volées de mitrailleuses. Des scènes comme dans des films d’horreur.

Comment cela pourrait-il arriver?

La sympathie de l’Allemagne était significative, mais Kiewel, comme elle l’écrit, était perdue dans sa douleur et sa colère. Kiewel soulève des questions : comment cette attaque a-t-elle pu se produire ? Où était l’armée ? Pourquoi le Mossad et le Shin Bet n’étaient-ils pas préparés ? Au milieu de tout cela, une crise personnelle : lorsque l’homme qu’elle aime rejoint l’effort de défense en tant qu’ancien combattant et réserviste.

A 10h30, elle écrit : « Il y a des affrontements en Cisjordanie depuis des mois. Arabes contre colons. Colons contre Arabes. La terreur. Meurtre. Mort. Blessé. Le feu est allumé et de l’huile est versée sur le feu. Le gouvernement israélien ne dit pas un mot de puissance à ses colons violents. Ainsi que? Leur parti est au gouvernement. Ce serait comme se tirer une balle dans le pied. »

« En tout cas, c’est de cela dont je discute avec mes amis israéliens. Parce que nous nous demandons tous, à l’unisson, comment se fait-il qu’Israël, exactement 50 ans après la guerre du Kippour, soit à nouveau si vulnérable, si vulnérable.

Vous trouverez ici du contenu de YouTube

Afin d’interagir avec ou d’afficher du contenu des réseaux sociaux, nous avons besoin de votre consentement.



ttn-fr-30