Grève du pétrole en cours, les syndicats convoqués au ministère


Alors que le verrouillage partiel des pompes à essence est en cours à partir de 19 heures le 24 janvier, aujourd’hui une nouvelle convocation – au ministère de l’Entreprise et du Made in Italy – des responsables des usines de carburant. La réunion, prévue à 15 heures dans la via Veneto à Rome, fait suite à une autre confrontation, qui s’est tenue hier, après laquelle le Faib avait réduit la grève à un jour alors que Fegica, Figure Et Anis avait confirmé la grève de 48 heures qui devait se terminer à 19h demain 26 janvier.

La convocation d’aujourd’hui – les représentants des gestionnaires précisés lors d’une réunion publique convoquée à Rome – servira à illustrer le projet d’amendement au décret sur la transparence des prix à l’étude par le bureau législatif du ministère qui pourrait conduire à la révocation du deuxième jour de grève. Le ministre Urso, occupé à Bruxelles, ne participera pas à la réunion technique. En marge de la réunion, le président du Figisc, Bruno Bearzi, a souligné que le Gouvernement maintenait pour l’essentiel la structure du décret tel qu’il était, « allant réduire les sanctions. Mais le fait est que nous sommes les spéculateurs à contrôler et à sanctionner. On attend du gouvernement qu’il dise qu’il a pris des huées pour des fiascos ».

Guerre des chiffres sur la participation à la grève

Pendant ce temps, il y a une guerre des chiffres sur la participation à l’abstention : selon la Fédération italienne des gestionnaires d’usines de carburant routier (Figisc, liée à Confcommercio), environ 85 % de ces 50 % de distributeurs qui, en fait, avaient la possibilité de grève aurait rejoint . Selon des sources ministérielles, 36% des usines auraient fermé, calculs en main. Net des distributeurs gérés directement par les compagnies pétrolières et par les gestionnaires de réseaux indépendants, selon Fegica, la participation des gestionnaires est absolument massive, avec un chiffre moyen d’environ 89% sur une base nationale et des pics de plus de 90 dans certaines zones du Village.

L’avis des associations de consommateurs est du signe opposé. Utilisateurs absolus, prêt à la contre-grève des consommateurs, parle d’échec total, car « les sigles qui avaient initialement proclamé la grève se sont éclatés, et de nombreux distributeurs ont décidé de ne pas se joindre au lock-out, au point que les automobilistes sur tout le territoire peuvent désormais trouver de nombreuses pompes fonctionnent, même si ce n’est qu’en mode libre-service ». « Grève flop qui doit faire réfléchir la catégorie des managers », attaque Giuseppe Balia, président de Angac Confsalautre syndicat de stations-service, selon lequel « les sigles historiques Faib, Figisc et Fegica ne sont plus crédibles ».



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