Les organes de presse se font principales préoccupations sur la journaliste hongkongaise Minnie Chan disparue en Chine. On n’a plus eu de nouvelles d’elle depuis qu’elle a participé fin octobre à une conférence sur la sécurité à Pékin, la capitale chinoise. Son employeur Poste du matin de la Chine du Sud a déclaré vendredi à l’agence de presse japonaise Kyodo News qu’ils étaient « congé privé » est, mais n’a pas voulu donner plus de détails sur sa vie privée.

Le Comité pour la protection des journalistes appelle les autorités chinoises à clarifier immédiatement où se trouve Chan et à garantir sa sécurité. Le groupe de presse Hong Kong Free Press est «profondément concerné». Le dernier message de Chan sur Facebook était daté du 11 novembre, mais elle n’a jamais répondu à aucun commentaire à ce sujet. Les amis craignent qu’elle publie ça je ne t’ai pas posté.

Chan travaille pour le journal anglophone basé à Hong Kong depuis 2005. Poste du matin de la Chine du Sud et est un spécialiste dans le domaine de défense et diplomatie en Chine. Son dernier article, publié le 1er novembre Il s’agissait de l’équilibre que la Chine devrait trouver pour pouvoir jouer un rôle de médiateur actif dans la guerre entre Israël et le Hamas.

Le Fédération internationale des journalistes souligne que la Chine « cible depuis longtemps les journalistes critiques du gouvernement chinois » et que la disparition de Chan « dans le contexte de la répression croissante des médias indépendants à Hong Kong est profondément troublante ».



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