Grand intérêt pour l’histoire de la guerre dans la caserne du camp Linde

L’épouse de Veenstra, Marga Kool, est responsable d’une partie de la narration. Elle a également écrit des poèmes pour la pièce. Kool est impressionné par la caserne où se déroule la narration. « Absolument. Je n’étais jamais venu ici auparavant. Quand je suis entré, une larme m’est venue à l’œil. Je pense que c’est assez dramatique en ce moment. »

C’est notamment à cause des répliques de lits de Westerbork, Auschwitz et Bergen-Belsen. Ceux-ci ont déjà été recréés pour le tournage du journal d’Anne Frank, entre autres. La caserne du Kamp Linde a servi de toile de fond.

Le fait que la caserne soit située à Zuidwolde et y ait une seconde vie est principalement dû à Henk Dekker et Theo Boer. Les deux s’intéressent à l’histoire de la guerre de Zuidwolde et des environs. Une entreprise de construction a approché le duo avec le message qu’ils avaient une caserne sur leur site, qui devait faire place à une nouvelle construction. « Ensuite, nous avons décidé de déplacer la caserne ici.

La caserne devra éventuellement être restaurée, mais en attendant elle servira de décor, entre autres, à la narration historique de cet après-midi. « L’intention est de créer un modeste centre de guerre ici », explique Dekker. « Nous voulons également avoir un piédestal avec un grand radar dans cette zone, avec des panneaux d’information sur le passé. Tout au même endroit, pour ainsi dire. »

Le duo est en pourparlers avec Alfa College et Terra College pour faire démarrer les choses. « Nous travaillons là-dessus depuis quelques années maintenant », déclare Boer. « Corona a causé des retards. »

Mais Boer est clair : « Cette région a une histoire de guerre considérable. Nous voulons garder ces histoires vivantes. »



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