Gordon a été repéré par un paparazzo du Parti marchant dans les rues de Blaricum avec des sacs d’aspirateur. « Son visage est comme le tonnerre ! », est-il écrit en grand au-dessus de l’article.
Les paparazzi des tabloïds sont partout et bien sûr, ils aiment aussi jeter un coup d’œil à Blaricum, la nouvelle ville natale de Gordon. Il vit désormais au milieu du village, à côté de son café Blushing et on l’y retrouve toute la journée. Le paparazzo du parti, Bob Awick, est allé enquêter et a trouvé Goor sur le trottoir.
Inconfort et soucis
Le Faire la fête est très préoccupé par Gordon. « Lorsque nous voyons l’artiste très troublé se promener dans Blaricum, il dégage une atmosphère d’inconfort et d’inquiétude. »
Pourquoi exactement ? « Malgré une averse d’été qui rend les pavés de Gooi tristement humides et glissants, il repensera probablement avec mélancolie à sa vie ensoleillée mais beaucoup trop luxueuse (et donc trop chère) à Dubaï. »
Sacs d’aspirateur
La raison pour laquelle Gordon était dans la rue, c’est parce qu’il devait acheter des sacs d’aspirateur. Il a également été photographié avec ça. «De retour dans le glamour des polders, Gordon doit lui-même acheter de nouveaux sacs d’aspirateur, qu’il garde dans une boîte orange à la main.»
En faisant du shopping, on pense toujours à tout, le Parti le sait. « Il y a de fortes chances qu’il ait des inquiétudes concernant le personnel de son entreprise de restauration, car il est difficile de trouver de bonnes personnes en ce moment. »
Travailler très dur
Il faudra du temps à Goor pour changer, estime le magazine. « Ce n’est pas une vie de jet-set, c’est un dur travail de refaire surface dans un monde que Gordon semble préférer voir se noyer. »
« Mais l’artiste polyvalent a été dans une situation délicate et nous sommes convaincus qu’il s’en remettra également. Mettez-le sur Gordon !
Eh bien, comme c’est gentil.