GOMOS et la Norger Tennis Association semblent être en mesure de poursuivre les plans de construction

Il peut y avoir des doutes quant au financement, mais le club de football GOMOS et le Norger Tennis Club semblent être autorisés à poursuivre leurs nouveaux projets de construction. Une grande majorité du conseil est favorable aux projets.

La plupart des discussions semblent porter sur les projets de VV GOMOS. Le club a soumis un projet d’une valeur de trois millions d’euros pour un nouveau bâtiment, pour lequel il devra débloquer lui-même 1,2 million. L’argent restant doit provenir d’une subvention de la commune de Noordenveld.

« Le bâtiment actuel a quarante ans et est en fin de vie », a déclaré au nom du club de football le tout nouveau président Edwin Blokzijl. Il y a également un manque d’espace, selon Blokzijl, en partie à cause de la popularité croissante du football féminin.

GOMOS estime pouvoir couvrir le montant de 1,2 million d’euros grâce à la levée de fonds et au programme de subvention BOSA (Incitation à la construction et à l’entretien d’installations sportives). Grâce à ce dispositif, l’association peut déjà espérer recevoir 600 000 €.

Les critiques sont venues principalement du côté de l’ADC. La conseillère Astrid Westra dit avoir des réserves quant au financement. « J’ai des difficultés avec la liste de souhaits. Et si ce projet s’avérait non réalisable financièrement ? GOMOS a-t-il un problème majeur ? »

Le conseiller Alex Wekema (PvdA/GroenLinks) a tenté de la rassurer en lui disant que GOMOS peut éventuellement simplifier le plan. « En outre, ils ne doivent payer eux-mêmes qu’un maximum de 10 à 20 pour cent du coût total. »

Wekema déclare en outre que la municipalité reste à l’écoute pendant le processus. « Nous le faisons également avec le Sporthuis Peize. Nous avons des consultations périodiques avec l’association et le chef de projet. »

Pour tout faire dans le cadre du budget fixé, GOMOS doit faire beaucoup de choses lui-même. Le conseiller Wekema ne pense pas que cela posera un problème. « S’il y a un club dont l’autonomie ne m’inquiète pas, c’est bien GOMOS. Il suffit de voir combien de bénévoles y viennent lors de la journée de travail annuelle. »

Wekema a la même confiance dans la Norger Tennis Association. Le président Roelof Smilda a brièvement souligné les défauts du bâtiment actuel : trop petit, trop vieux. « Nous voulons résoudre ce problème pour les quarante, voire cinquante prochaines années. C’est possible avec ce plan. »

Le projet concerne un nouveau bâtiment d’un coût de neuf mille euros. La commune de Noordenveld veut payer 540.000 euros, le reste doit venir du club de tennis. Un plan réaliste, selon la municipalité et l’association. Mais là aussi, la conseillère CDA Westra a des doutes. « Une petite association peut-elle soutenir cela ?

Les deux associations norvégiennes semblent pouvoir compter sur le soutien du conseil. Une décision sera prise mercredi prochain.



ttn-fr-41