GLORY renforcera considérablement sa politique antidopage dans un avenir proche. L’association de kickboxing espère garder le sport aussi propre que possible. Ces derniers mois, GLORY a dû faire face à de nombreux cas de dopage.
L’un des changements les plus importants est que les kickboxeurs peuvent également être contrôlés à l’improviste en dehors des compétitions. Jusqu’à présent, les contrôles antidopage n’ont eu lieu que lors d’événements. En cas de test positif, GLORY a le droit de publier tous les détails et un dossier est constitué.
De plus, un artiste martial attrapé peut s’attendre à une lourde amende. Il se peut qu’il doive payer la totalité de la prime de profit à l’adversaire. De plus, une victoire peut se transformer en perte. Jusqu’à présent, une partie à une violation du dopage a toujours été déclarée invalide.
GLORY, qui annoncera prochainement plus de détails sur cette politique renforcée, a recruté Nadia Silk pour mettre les règles en pratique. Elle vient de l’agence antidopage américaine USADA et a précédemment développé la politique antidopage stricte de l’organisation MMA UFC.
Nombre de meilleurs kickboxeurs capturés
Ces derniers mois, un certain nombre de combattants de haut niveau ont été interdits de dopage. Par exemple, Alistair Overeem, Jamal Ben Saddik et Luis Tavares ont été arrêtés l’année dernière.
Overeem a perdu sa victoire contre Badr Hari au GelreDome en raison de son test positif. Pour le Néerlandais de 43 ans, ce match marquait son retour en tant que kickboxeur après des années de combat à l’UFC.
Les cas de dopage jettent une ombre sur la division des poids lourds, dans laquelle Rico Verhoeven a également abandonné cette année en raison d’une blessure au genou. Le champion du monde fera son grand retour plus tard cette année : il défendra alors son titre face au Néerlandais Nigérian Tariq Osaro.
Kickbokser Osaro verrast met interim-titel en is volgende tegenstander Verhoeven