Relations avec les Etats-Unis : « Certains s’étonnent qu’elles soient bonnes. Ceux qui considèrent la politique étrangère comme un outil pour renforcer leur parti le pensent. Je ne pense pas », déclare Giorgia Meloni. « La politique étrangère vise à renforcer sa propre nation. Et nous dialoguons avec tout le monde, en particulier avec les États-Unis qui comptent parmi nos principaux alliés, quel que soit le changement de gouvernement. Ils savent qu’avec moi, il n’y a pas de tromperie ni de tromperie».
Relations avec la Chine : «Je ne m’attends pas à ce qu’elles se compliquent. Il faudra discuter de la Route de la Soie au Parlement et ensuite nous en parlerons avec sérénité et amitié avec le gouvernement chinois. Je suis convaincu que les relations resteront solides.
L’impôt sur les bénéfices supplémentaires des banques: «J’ai pris la responsabilité de la décision. Quelqu’un dit : « Vous voulez taxer les richesses gagnées ». Je ne taxerai jamais le profit entrepreneurial légitime, mais je n’ai pas l’intention de défendre des rentes de position».
Dans sa première interview après son retour de vacances, Giorgia Meloni, première ministre aux prises avec ses engagements à l’étranger, du G20 en Inde au sommet de l’ONU à New York, parle avec Il Sole 24 Ore des relations internationales et de la politique intérieure. De la manœuvre aux débarquements croissants de ces dernières semaines. De la décision concernant Tim à la manière dont il envisage d’agir pour obtenir une réforme du pacte de stabilité.
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