Giorgetti : le ralentissement de l’économie mondiale implique l’Italie, la crise au Moyen-Orient ajoute à l’instabilité


«Le ralentissement de l’économie mondiale implique l’Italie» et «la crise du Moyen-Orient ajoute à l’instabilité». Le ministre de l’Économie, Giancarlo Giorgetti, l’a déclaré lors de l’audition au Parlement sur Nadef. « La perspective – explique le ministre – est que dès la deuxième partie de l’année, il sera possible de reprendre progressivement le chemin de la croissance, même si l’impact des événements les plus récents reste à évaluer ».

La guerre ajoute de l’instabilité à un tableau complexe

«La crise au Moyen-Orient ajoute de l’instabilité à un tableau déjà complexe», souligne le ministre de l’Économie Giancarlo Giorgetti. «L’incertitude qui caractérisait le contexte examiné au sein de la Def n’a pas disparu. Au contraire, cela a contribué à un ralentissement général des taux de croissance mondiaux. Les récents événements qui ont caractérisé la région du Moyen-Orient s’insèrent dans ce contexte, ajoutant encore plus d’instabilité à un tableau déjà compliqué par des conflits et des tensions géopolitiques », explique le ministre de l’Économie devant les commissions conjointes du Budget de la Chambre et du Sénat sur le Nadef.

La baisse de la pression fiscale se poursuit : à 41,8% en 2026

«La pression fiscale selon la législation actuelle devrait atteindre 42,5% pour l’année en cours, en baisse de 0,2 point de pourcentage par rapport à l’année dernière. Cette tendance, qui devrait se poursuivre avec la même évolution moyenne au cours des trois prochaines années, conduira à un niveau de 41,8 pour cent en 2026″, a déclaré le ministre de l’Économie.

Des signaux positifs du marché du travail

«Des signaux positifs sont arrivés du marché du travail, qui montre une stabilité substantielle», souligne le ministre de l’Économie Giancarlo Giorgetti lors de l’audition sur Nadef.ferreo

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Un contrôle strict des dépenses est inévitable

«Même à la lumière des nouvelles règles qui se dessinent pour la gouvernance économique européenne – rappelle le ministre Giorgetti – le contrôle strict de l’évolution des dépenses deviendra un impératif incontournable».



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