Georges-Louis Bouchez dans ‘Special Forces’ : un fils à papa apparemment arrogant qui tourne mal de façon presque caricaturale


« Georges, allez ! » « Georges, aide les jeunes ! » « Allez, Georges, on transpire comme un diable ! » « J’ai parfois l’impression qu’il a déjà renoncé à ça ici et juste des raisons : j’arrête demain, je voulais juste participer un jour. » « Parfois, je pensais que je portais ce jerrycan tout seul. »

Ouais, un Georges a eu dans le premier épisode de Forces spéciales un seau de grogne contre lui. Ce programme, dans lequel un groupe de Flamands bien connus suit « l’entraînement le plus dur du monde », comme le prescrit le texte de presse, plein de « tests physiques et psychologiques implacables, manque de sommeil et faim », a rapidement fait avancer astucieusement le le maladroit télévisé rêvé qui peut exciter les foudres de ses camarades de peloton a dû avaler : un fils à papa apparemment prétentieux qui s’est trompé de manière presque caricaturale lors des épreuves d’entraînement militaire. Il refusait de s’acquitter correctement des tâches et se traînait invariablement d’un ton bourru à l’arrière de la file de collègues qui avançaient frénétiquement.

« Que tu ne puisses rien faire pour l’équipe, c’est une chose, mais que tu travailles contre l’équipe, ça ne se fait pas », Georges, l’un des principaux vétérans des Forces spéciales, a balayé le manteau à la fin de l’épisode. L’enfant en question avait l’air joué avec incrédulité, mais était probablement ravi de l’exposition que sa participation lui avait donnée, même s’il était sorti du combat tout sauf bien. tant pistoujours agréable de voir de véritables narcissiques se mettre en chemise pour le divertissement des enfants flamands du tube de visionnage.

Participants des Forces spéciales Ann Wauters, Dirk Van Tichelt, Steven Laureys, Laura Tesoro, Francesco Planckaert, Francisco Schuster, Davy Parmentier, Hannelore Simoens, Koen Wauters, Nick Bril et Georges-Louis Bouchez.Image VTM

« Si je ne deviens toujours pas ministre après ça, je ne sais pas ce qui deviendra », souffla Georges dans la langue de Voltaire alors qu’il devait descendre une tour de vingt mètres en plein désert marocain au moyen du face cachée, une technique de marche verticale le long du mur d’un bâtiment via des ceintures de sécurité. Un peu plus tard, il a laissé nonchalamment d’autres participants tels que Koen Wauters, Laura Tesoro, Francesco Planckaert et le judoka Dirk Van Tichelt traîner de lourds jerrycans à travers le désert susmentionné, jusqu’à une montagne de table, sans se frapper lui-même. « Vous êtes un poids pour le groupe », lui ont fait remarquer ses supérieurs tard dans la nuit lors d’un débriefing strict.

Qui aurait été dans le fauteuil du réalisateur pour cette diffamation télégénique du président du MR Georges-Louis Bouchez ? Bart De Wever ? Franck Vandenbroucke ? Jean-Luc Crucke ? Étaient-ils tous bien au chaud dans la salle de contrôle, assiette de tajine sur les genoux et thé à la menthe sur une table d’appoint, côte à côte avec les supérieurs des forces spéciales ? Et ont-ils peut-être oublié que dans un pays où les calimeros sont célébrés, cette approche n’est pas la plus brillante ? Rira bien qui rira le dernierhein Georges-Louis ?

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