GenZ est souvent qualifié de « paresseux » mais ce ne sont que des préjugés : ils ont peur de l’avenir


« LOn s’épuise et ils se découragent » atteste-t-il un nouveau rapport mondial réalisé par la société des études de marché mondiales de GWI sur plus de 900 000 personnes appartenant à la soi-disant GenZ.

De l’enquête Eten fait, est apparu qu’une nouvelle forme d’anxiété non plus pour la performance, mais généralisée et identitaire et le manque de parents et d’adultes de référence capables de leur montrer l’avenir met en crise ceux nés entre 1997 et 2012.

Guerre, crise économique, avenir incertain : comment gérer les peurs les plus fréquentes

GenZ, les « épuisés » remplacent-ils les « big boys » ?

Bref, si je Millennials (ceux nés entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990) étaient «gros bébés» et « ss’allonger», les jeunes de la génération Z sont les «épuisé”. Mais il faut veiller à donner le bon sens au terme.

Ceux qui traversent aujourd’hui cet âge qui va de l’adolescence à 30 ans, en fait, ne sont pas du tout « paresseux » mais plutôt ils ont l’impression d’être au bord d’un précipice.

GenZ est souvent qualifié de « paresseux », mais ce ne sont que des préjugés

De grandes peurs et peu de certitudes

Blâmer la pandémie, bien sûr. Mais leur fragilité est aussi due à parents et adultesqui se sentent fragiles, e ils ne comprennent pas leur identiténi de les accueillir tels qu’ils sont ou tels qu’ils voudraient être.

Ils sont incapables d’écouter leurs demandes et leurs peursmais ils ont des attentes très élevées sur leurs performances à partir de leurs études.

Et tout cela se transforme pour les jeunes en une fatigue mentale dont ils sont écrasésà tel point que lorsqu’ils entrent pour la première fois dans le monde du travail, ils se sentent déjà démotivés et fatigués.

GenZ n’est pas paresseux, il a peur

GenZ est souvent qualifié de « paresseux » mais ce ne sont que des préjugés qui ne reflètent pas la vérité. Cela ne veut pas dire que les années passées, difficiles pour tout le monde, ont aussi beaucoup affecté les garçons.

Depuis Coviden effet, les années qui suivirent furent caractérisées, de la crise économique, du déclenchement d’une guerre, de la crise du coût de la vie, de l’inflation. Certainement pas un bon terrain pour commencer à travailler.

Voyagez moins et combattez moins pour vos idéaux

Mais le rapport ne parle pas que de carrière : pourquoi la fatigue affecte également les intérêts personnels et le temps libre. Ils ont perdu (8 %) l’intérêt de voyager et d’explorer le monde e ils sont moins passionnés par l’urgence climatique et de porter les demandes de défense de l’environnement.

Et souffre de plus d’anxiété que toute autre génération

Les adolescents paient une lourde facture, selon la recherche : 10% disent avoir une forme de trouble mental et 3 sur 10 sont sujets à l’anxiété, la proportion la plus élevée parmi tous les groupes d’âge.

Cependant, la pandémie, bien qu’elle fasse partie des causes qui ont causé cet état, il n’a fait qu’exacerber une souffrance déjà présente chez les garçons et les filles.

Ce qui malheureusement se heurte à une difficulté toujours plus grande des parents, des enseignants, des institutions à la percevoir, à l’écouter et à l’accueillir. Convaincre à tort les enfants et les étudiants qu’ils devraient être les seuls à s’inquiéter des fragilités des adultes.

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