Selon une rumeur rapportée par The Tennis Podcast et par le journaliste américain Jon Wertheim, l’équipe de Coco aurait poussé à jouer à 12 et désavantagerait le Letton qui souffre de la chaleur et s’était beaucoup moins reposé.
Coco Gauff s’envole pour les demi-finales en battant, voire écrasante, dans le premier quart de finale de la journée la Lettone Aljona Ostapenko, qui avait battu Iga Swiatek au tour précédent, la privant de la n°1. Il n’y a pas eu de match, un 6-0 6-2 bien trop clair pour l’Américain de dix-neuf ans, et peut-être y a-t-il une explication plus que logique à ce massacre, et à ce diable Brad Gilbert, qui a récemment rejoint l’équipe , pourrait frapper Coco, avec des résultats fantastiques. Dans les couloirs du Billie Jean King National Tennis Center et filmées d’abord par The Tennis Podcast puis par Jon Wertheim, célèbre journaliste américain, des rumeurs courent selon lesquelles l’équipe de Gauff aurait fait pression pour laisser jouer le chouchou de la maison de 19 ans. la session de jour du programme dell’Artur Ashe et non celle du soir (comme initialement prévu), où s’affronteront Karolina Muchova et Sorana Cirstea, un match pour le public américain beaucoup moins intéressant pour la première soirée.
LA CONTROVERSE
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Raison? Il paraît qu’Ostapenko déteste la chaleur, et cet après-midi à New York il faisait 38 degrés à midi (heure du match) avec 70% d’humidité. De plus, la Lettone s’était endormie à 15h30 entre dimanche et lundi après son match contre Swiatek, donc moins de repos. Gauff, quant à lui, est habitué à s’entraîner en Floride sous un soleil intense et n’a eu aucune difficulté à s’adapter. Vrai? FAUX? Qui sait, mais cette voix est là. Le fait est qu’en un peu plus d’une heure de jeu, Gauff a remporté la demi-finale, dominant le match de loin. En fait, Ostapenko, que ce soit à cause de la chaleur ou de la tension (nous ne parlons certainement pas de l’un des joueurs les plus linéaires de tout le circuit), s’est immédiatement arrêté. Victime d’un truc de Gilbert ? On ne le sait pas, mais peu de gens seraient surpris, au cas où. Après tout, on n’écrit pas un livre intitulé Winning Ugly, pour rien.
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