Il est difficile de partager à la fois l’échec et le succès. Mais ceux qui s’épaulent, les sponsors (!), les officiels (!) qui s’affrontent sur les réseaux sociaux ne devraient plus jouer de rôle.



L’esprit footballistique de ce club est Okan Buruk, et le nom le plus autoritaire est Dursun Özbek. Si tout le monde assume son rôle, un championnat qui restera dans l’histoire peut venir. Galatasaray devrait cesser de rechercher l’inimitié à l’extérieur et se rassembler.



45 jours seront très difficiles pour les supporters dont la joie sera interrompue par la Coupe du monde.






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