Frits Kappers a écrit un livre sur le passé NSB de ses parents

libéré. Voici ce que ressent l’écrivain Frits Kappers après la sortie de son roman autobiographique A l’ombre de l’erreur† Dans le livre, le Hoogevener s’installe avec le passé NSB de ses parents. « Ce n’est jamais complètement fini, mais ça ne me dérange plus », dit-il dans l’émission Cassata de Radio Drenthe.

Les coiffeurs devaient venir de loin, car il a souffert de ce passé pendant au moins la moitié de sa vie. Ses parents venaient de Winterswijk et étaient membres du NSB. Donc ‘mal dans la guerre’. Kappers n’en avait aucune idée au début. Quand il avait 10 ans, sa mère lui a dit. Le père était déjà décédé il y a plusieurs années.

« Ma mère pensait que je devais l’entendre d’elle, pas de quelqu’un d’autre », dit Kappers. « Elle n’a pas menti, car j’ai pu tout retracer dans les dossiers des Archives nationales. » Là où son père s’est rendu compte après la guerre qu’il avait fait le mauvais choix, ce n’était pas le cas de sa mère. « Elle n’arrêtait pas d’insister sur le fait que les Allemands nous empêchaient d’être occupés par les Anglais. C’était le discours au sein du NSB, là-bas les Allemands étaient considérés comme des libérateurs. »

Kappers se souvient bien qu’il était incrédule après que sa mère eut annoncé la nouvelle. « J’ai tout de suite eu un conflit de loyauté », se souvient-il. « À l’école, j’ai entendu des enfants dire qu’ils auraient dû pendre des membres du NSB. Mais si cela s’était produit, je n’aurais pas été là.

(Le texte continue sous la vidéo)



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