Francis van Broekhuizen n’a aucune pitié pour Marco Borsato


Francis van Broekhuizen appelle toujours très politiquement correct dans les talk-shows qu’il ne faut pas porter de jugement sur les célébrités contre lesquelles un rapport a été déposé, mais hier elle l’a fait elle-même au HLF8.

© SBS 6, RTL

Les célébrités choisissent consciemment un métier dans lequel elles sont extrêmement dépendantes de leur image. Le risque de détérioration de l’image est pris en compte dans les salaires extrêmement élevés que gagnent les stars. S’ils doivent faire face de manière inattendue à quelqu’un qui dépose un rapport, alors cela fait partie du jeu qu’il y ait de la publicité et donc des conséquences techniques sur l’image.

François intervient

L’une de ces conséquences est qu’une telle déclaration est sans cesse discutée dans les sections d’émissions et aux tables de talk-shows. Condamnable, pense Francis van Broekhuizen. «Je trouve toujours cela un peu difficile dans ces talk-shows. Puis-je juste dire ça? », a-t-elle ricané à la table du talk-show HLF8 hier soir.

Dans HLF8, il s’agissait de la poursuite de Thijs Römer. « Ensuite, nous commençons tous à spéculer sur ce qui aurait pu se passer », a déclaré Francis. « Ne devrions-nous pas simplement faire régler cela par le juge? »

Un peu hypocrite

Son collègue invité Frans Duijts peut être d’accord avec cela : « Entre-temps, ces carrières se sont arrêtées. Marco Borsato n’ose plus sortir dans la rue et Ali B est parti depuis un moment.

Ah, Francis veut spéculer sur leur inconduite présumée : « Oui, je ne sais pas si nous devrions en faire tout un plat. Ces enfants ont aussi des années de problèmes. Je comprends que ces carrières… Tout cela est très mauvais, mais ces enfants qui peuvent vraiment faire face à cette misère pendant des années, je pense que c’est un peu pire… »

Discuter

Francis récupère alors son boomerang en plein visage. Frans : « Tu le dis très bien : peut-être. »

Alors Francis se rend compte qu’elle-même spécule tout aussi fort. Après tout, le ministère public n’a même pas décidé de poursuivre Ali et Marco. « Oui, mais c’est ce que je veux dire : nous sommes tous assis ici à bavarder tout le temps, mais nous ne savons rien, parce que nous ne sommes pas là. Laissons ce juge trancher.



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