Il est neuf heures et demie un samedi matin. Environ soixante-dix gardes de digue du Vechtstream Water Board font rapport à Hardenberg. Une couche de givre recouvre le sol et les bonnets et gants sont enfilés et enfilés pour l’entraînement. Les gardes-digues circulent par groupes de cinq à six volontaires et doivent effectuer des contrôles à différents panneaux.

Après deux ans, l’exercice de crise des gardes volontaires de digue se poursuit. Et ça c’est important, ils sont les premiers yeux et oreilles en cas de danger.

Deux protections de digue sont reliées entre elles par une corde de sécurité. L’un marche sur la digue, l’autre au fond. S’il se passe quelque chose au bord de l’eau, nous prenons soin les uns des autres de cette façon. Ils font attention au danger possible. Les taupinières, les inondations, le niveau de l’eau. Tout ce qui dévie est renvoyé au siège via une application.



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