Fırat Develioğlu, qui a annoncé qu’il était candidat à la présidence au cours des derniers jours avant l’assemblée générale extraordinaire des élections du club de Galatasaray qui se tiendra le 11 juin, a annoncé qu’il se retirait de sa candidature avec la déclaration qu’il a faite aujourd’hui.
La déclaration écrite de Develioğlu est la suivante ;
« Le 16 mai 2022, le président du Galatasaray Club, M. Burak Elmas, a annoncé qu’il ne serait pas candidat aux élections du 11 juin.
J’ai déclaré que depuis le premier jour de ma candidature, je m’efforçais de faire en sorte que d’autres candidats puissent émerger parmi les deux candidats actuels. Comme on en croise souvent, je ne voulais pas être du côté des critiques, constamment et irrésolument. J’ai annoncé ma candidature en mettant ma propre main sous la responsabilité sans laisser de mots.
À cette fin, j’ai déclaré que j’essayais de persuader des noms populaires et éminents de la communauté, y compris certains de nos anciens présidents, de devenir candidats pour sortir notre club de la situation difficile dans laquelle il se trouve. S’ils sont nommés, M. Adnan Polat, M. Unal Aysal et M. J’ai fait valoir que je ne rivaliserais pas avec Dursun Özbek et que chacun de ces candidats devrait être uni. J’étais d’avis qu’il fallait encourager et persuader ces personnes à la présidence du club. Dans le contexte difficile dans lequel nous nous trouvons, tous les candidats, M. Je vois qu’il est nécessaire de s’unir sous l’égide de Dursun Özbek.
M. Hamamcioglu et M. Öztürk avec une liste commune, M. Je pense qu’ils devraient être élus sous l’égide de l’ouzbek.
A cet effet, afin de leur ouvrir le champ nécessaire dans ce sens, je me retire de la candidature sans la faveur de personne. Je remercie sincèrement mes fans, toute mon équipe et la presse pour leur soutien. Après l’élection, en tant que membre ordinaire, je m’engage à contrôler la marche de notre club comme un inspecteur honoraire. Bien que n’étant pas dans cette élection, je déclare que je suis prêt pour le devoir chaque fois que le besoin s’en fait sentir, chaque fois que mes partisans m’appellent au devoir.