Zuckerberg a pris l’avertissement au sérieux à l’époque parce qu’il considère le FBI comme une « institution légitime » et parce que la Russie a été très active dans la publication de contenus polarisants et souvent faux avant l’élection présidentielle de 2016.

Facebook n’a pas empêché le partage de l’article, mais il a réduit le nombre de fois où l’article est apparu dans les flux.



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