Explorer le trio power glue du SPD, des Verts et de la Gauche

De Hildburg Bruns

C’est un groupe de losers qui s’est retrouvé mardi à l’heure du café avec des brownies et des bretzels à la Kurt Schumacher House.

Le SPD de Berlin a perdu 111 351 voix lors de la nouvelle élection il y a dix jours, la gauche 71 109, les Verts 64 998.

Rouge-Vert-Rouge a perdu un quart de million d’électeurs, mais découvrez la poursuite de leur règne moins que réussi !

« On ne peut que devenir plus fort après une défaite », déclare le sénateur de la Culture Klaus Lederer (48 ans, à gauche). Son parti reste à la barre avec le SPD et les Verts.

La gestion des « expropriés Deutsche Wohnen & Co. » est le plus gros point de friction entre Franziska Giffey (44 ans, SPD) d’un côté, et la Gauche et les Verts de l’autre.

Sonder la colle du pouvoir à hauteur des yeux : Au siège du SPD, cela est symbolisé par les tables disposées en triangle. À la CDU, ils formaient un cercle – mais un co-partenaire suffit pour une majorité parlementaire.

Cependant, les Verts se muscleront également contre le SPD : tous deux ont atteint 18,4 points de pourcentage. En plus de leurs trois postes de sénateurs (transports, finances, santé), ils pourraient aussi solliciter le SPD pour l’aménagement urbain ou les affaires.

Les conclusions après quatre heures à huis clos ?

« Un premier tour qui a été très réfléchi », confie Bettina Jarasch (54 ans, Verts). Et Franziska Giffey : « Une conversation sérieuse, autocritique. » Sur de nouveaux points d’attention (propreté, sécurité, circulation, fonctionnement de la ville) et une façon différente de traiter les uns avec les autres.

Ça continue jeudi.



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