Aux États-Unis, les femmes enceintes prennent le plus souvent la mifépristone, une pilule abortive.
Source : Reuters
Les plaignants n’ont pas pu prouver qu’ils avaient subi ou subiraient un préjudice réel ou imminent, précise le communiqué. Les plaignants qui n’ont que des « objections générales d’ordre juridique, moral, idéologique ou politique » à l’utilisation de la mifépristone n’ont pas qualité pour intenter une action en justice.
Une commission d’experts du gouvernement fédéral a recommandé de légaliser l’avortement jusqu’à la douzième semaine de grossesse. Ils sont actuellement interdits, mais certains restent impunis.15 avril 2024 | 1:46 minutes
Pilule abortive aux USA jusqu’à 10 semaines
La mifépristone est utilisée dans plus de 60 pour cent des avortements pratiqués aux États-Unis. Le médicament a été approuvé aux États-Unis en 2000 et est considéré comme fiable par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.
La mifépristone est généralement utilisée avec le médicament misoprostol pour l’avortement, mais le misoprostol peut également être utilisé seul. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la combinaison des deux médicaments est légèrement plus efficace.
L’Union réitère son opposition à une éventuelle libéralisation de la loi actuelle sur l’avortement. « La protection de la vie doit être prise en compte », a déclaré la députée du groupe parlementaire de l’Union Dorothee Bär (CSU).10 avril 2024 | 5:31 minutes
La Cour suprême a annulé le droit à l’avortement
Lors d’une audience il y a quelques mois, la Cour suprême avait déjà exprimé son scepticisme quant aux arguments des plaignants qui voulaient imposer des restrictions de grande envergure à l’accès à la pilule devant la Cour suprême.
Source: dpa