« Est-ce qu’Astrid Joosten gagne deux cent mille euros par an pour ce genre de télévision pulp ?! »


Astrid Joosten (66 ans), qui approche de la fin de sa carrière télévisuelle, est à l’antenne avec un programme télévisé d’envergure. « Elle est payée 200 000 euros par an ! », crie Angela de Jong.

© Janita Sassen

En plus de son succès d’audience Twee voor Twaalf, la présentatrice Astrid Joosten est actuellement sur la chaîne avec un autre jeu télévisé, à savoir Onderaan De Streep. L’émission bénéficie d’un spot de diffusion très important, notamment le jeudi soir à 21h30. Malheureusement, la femme senior de la télévision y obtient des chiffres d’audience très médiocres.

Chapeau choqué

Astrid sera choquée cette semaine, déclare Tina Nijkamp canal d’analyse. Elle a réussi à attirer encore moins de téléspectateurs sur la scène principale NPO 1 que sur la scène beaucoup plus petite NPO 3. Seulement 327 000 personnes ont regardé Onderaan De Streep, soit une part de marché modérée de 3,4 pour cent dans le groupe cible.

Ce sont des chiffres d’audience vraiment désastreux, explique-t-elle. « Son score est encore plus bas que celui de l’Hôtel Hollandia et du Biohack Project. Une deuxième saison semble déjà peu probable. « 

Dragon d’un quiz

La diva d’opinion AD Angela de Jong a jeté un coup d’œil et critique complètement le programme d’Astrid, dans lequel les capitaines d’équipe Anita Witzier et Richard Groenendijk et leurs candidats célèbres doivent répondre à des questions qui ont toutes un numéro comme réponse. Elle parle dans sa chronique d’un « sacré quiz ».

C’est ignoble, pense-t-elle. « L’OBNL devrait avoir honte d’oser diffuser ce produit des années 80, mais Astrid le présente comme si elle faisait du journalisme d’investigation. »

Deux tonnes

Angela critique le ton d’Astrid. Elle cite le présentateur : « Savez-vous que la limitation de vitesse n’a été introduite qu’en 1973 ? Oui, vous apprenez cela lorsque vous répondez à un quiz.

L’opinion de la diva est fausse : « S’il vous plaît, laissez cette femme s’en tenir à Two to Twelve et à son commerce de vin. Mais ça vaut 200 000 € par an sur la masse salariale chez BNNVara. (…) Comme je l’ai dit : la créativité est vraiment difficile à trouver.





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